D’abord une évidence: Le lac Lauvitel
Petite chute débonnaire au col du Lautaret
Pavlova de nuages à la « Reine Meije »
Lac du Goléon
Rivières de lait coulant du lac d’Arsine (par le torrent du petit Tabuc)
Lac de la Muzelle
En route pour la ligne de crête – Haute vallée du Vénéon / Refuge de Temple-Ecrins
Sur le plateau solitaire d’Emparis
Petite escapade sur la Tête de la Maye, dont voici l’Orient
Déversoir du Glacier Blanc
Jolie chute sans nom comme il y en a tant dans ce massif
Pozzines en marge du Goléon (on devine en fond les glaciers de la Girose et du Rateau)
Meije déjà foulée, neige déjà moulée…
Le Pelvoux en fond, le Glacier Blanc en visu, plus loin encore le refuge des Ecrins
Le Lauvitel
Couleurs d’automne au col du Lautaret
La Vallée du Vénéon
Miniature des hauts-plateaux
Vue lointaine sur la Barre des Ecrins, à partir du col des Muandes
Sources de la Romanche en amont de Vilar d’Arène
La Meije servie sur un plateau d’Emparis
Plateau qui penche dangereusement…
Au Grand Lac, de grandes visions…
La Guisane avant qu’elle ne se jette dans la Durance, à Briançon
Les steppes d’Emparis pourraient lui valoir le surnom de « Petite Mongolie » si-il n’était pris par le Cézalier
Petite chute de la Muzelle
Pic Est de Combeynot
Col d’Arsine
Paroisse de Temple-Ecrins
Plus loin, s’ouvre notre vallée préférée du massif: Le Vénéon
Vue aérienne du Galibier, à la limite des Ecrins et des Cerces
Rivière de lait et terre de miel
Tenue de camouflage
Savane, neiges et chalet au plus haut col d’Europe accessible en voiture
La tête dans les nuages
Le Miroir des Fétoules par gros temps
La Meije, ou le Doigt de Dieu et le Pic Gaspard, miroitée dans les eaux placides du lac noir. Une montagne faite de calcaire et de gneiss – des roches nobles, dures, très appréciées des grimpeurs.
Éternuement d’eau dévalant le Pic Gaspard
L’environnement très minéral du col du Galibier
Lorsque Emparis m’est apparu…
Doigt de Dieu, Meije orientale et glacier du Rateau
L’orage gronde, le blizzard rôde
Que cherche le marcheur? Il cherche l’abolition du poids, il cherche l’extase du derviche.
A l’approche du refuge des Bans
Mon acolyte du mois de juillet, après une journée très ensoleillée
Gigantisme en Vénéon
Lac Lerié et linaigrettes
La pointe sud des Ecrins dans la vallée de Serre-Chevalier
Au pied d’une Meije tourmentée
Vers Puy Aillaud en pente douce
Sur les hauteurs de Briançon
L’illustre Glacier Blanc laisse entendre ses craquements douloureux, ses chuintements et ses gémissements de grand cétacé.
L’eau de la Muzelle n’a pas son pareil pour sauter les étapes
Le lac du même nom baigne dans un climat de sérénité
Une passerelle pour nulle part
Et ces nuages griffus, à la diable, légers comme des djinns…
La dimension physique existe en randonnée. Certains jours, le corps ne suit pas. Alors le cœur prend le relai.
Déjà presque des airs d’Ubaye, mais encore dans les Ecrins
Les mêmes montagnes un mois après…
Petite cascade entre Monétier-les-Bains et Briançon- dans la vallée de Serre-Chevalier
La route reliant le col du Galibier au Col du Lautaret
Partout la reine Meije étend son empire
Et la rivière serpente vers la Chapelle des Sept Douleurs
Fatigués des écrans, volons vers les Ecrins. Les sauts de la Muzelle nous débarbouillent
Vers le Combeynot et nos très chères Cerces
Panais sauvages dans l’alpage du Vénéon: Domaine de l’aigle royal
Il y a parfois beaucoup à dire, et parfois bien peu
L’automne s’écrit au pinceau
Un archipel de mousse nous pousse à la paresse
Le Laramon dans son écrin rebrousse nos carcasses et repousse nos caresses
Puis la Bérarde, sanctuaire de l’alpinisme
Ouvre ses voies verticales: Bréviaire de l’optimisme
Montée au col de la Muzelle
Regard vers le torrent de Bonne Pierre et la face nord de la Meije
Ecrin-Total : Nuées en contre-jour
Chemin faisant vers la montagne des Agneaux
Autre arrêt au Lautaret
« T’as le nez qui coule »
Le Tabuc fait un tabac, pourtant, pas un chat
Les Ecrins vus du col de la Ponsonnière
Hiéroglyphes d’eau
Seuls au monde, dans le no mans land
La belle Vallée du Vénéon nous a ému comme peu d’autres avant elle
Le croissant fertile au col du Galibier
Les poules d’altitude gambadent en liberté
Dans la furie des eaux glaciaires
Marcher jusqu’au soir
Petite photo vintage prise de Briançon
Cairn dévotionnel au-dessus de Temple-Ecrins
Expectatives
L’œil écoute, le ciel et les pins froufroutent
« Ton secret c’est ton sang, si tu le donne entièrement, tu meurs. » Proverbe Berbère
Les alluvions du Goléon
Le lac couleur d’orgeat au-dessus du col d’Arsine
Vers le Lauvitel
La Vallée du Vénéon, le Plateau d’Emparis, sont, pesons nos mots, des merveilles de la nature! Sans aucun doute, la région est magnifique. L’oisans mérite plusieurs semaines de randonnées assidues, voire une itinérance prolongée, comme le très fameux tour des Ecrins. Pour autant, certaines étapes du GR54 me semblent manquer d’attrait. J’envisage d’avantage un petit tour du Valgaudemar, pour découvrir le secteur de Vallon-Pierre. Une chose est sûre: Nous reviendrons avec plaisir dans la région. Qu’il s’agisse d’Arsine, du Goléon ou d’Emparis, je n’ai d’ailleurs pu résister au bonheur d’y emmener un ami. Alors, comme on dit, jamais deux sans trois. Le massif des Ecrins reste une valeur sûre!